La France a accepté une augmentation significative de sa contribution globale aux budgets spatiaux nationaux, bilatéraux et civils.
La somme s'élève à 9 milliards d'euros répartis sur les trois prochaines années et représente une augmentation de 24% par rapport au programme triennal actuel qui s'est terminé en 2022.
Le budget contient une condition clé selon laquelle la somme ne doit pas dépasser 47% des programmes globaux de l'Agence spatiale européenne (ESA).
Le 23 novembre, il est ressorti de l'ESA et de l'agence spatiale nationale française (CNES) que la contribution française s'élevait à quelque 3,2 milliards d'euros pour l'année à venir (et juste derrière les 3,5 milliards d'euros de l'Allemagne et les 3,08 milliards d'euros de l'Italie selon l'ESA.
Le Royaume-Uni, par exemple, alors qu'il n'est plus en Europe, mais contribue toujours au financement de l'ESA à hauteur de 1,89 milliard d'euros (et 11,2 % de la somme totale).
La contribution française comprend « jusqu'à 300 millions d'euros » pour le programme prévu de large bande par satellite soutenu par l'UE et la CE. La condition est que la France reçoive une part des contrats susceptibles d'être attribués dans le cadre du projet, ce qui semble assez certain.
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