La destruction de centrifugeuses dans l'usine d'enrichissement de l'uranium en Iran par le virus Stuxnet qui a emballé les centrifugeuses en affichant les valeurs nominale de vitesse mais en les accélérant jusqu'à destruction, les automates Siemens gérant ces centrifugeuses étaient la cible, provenait aussi des USA.
Le blocage du site de www.Roscosmos.ru (toujours désactivé à ce jour) était aussi le fait d'une cyberattaque occidentale.
La paralysie des infrastructures de l'Iraq avant l'attaque (injustifiée puisque contrairement aux affirmations des USA, il n'y avait pas d'armes de destruction massive en Iraq), avait été faite par un virus dans le firmware d'une imprimante livrée en transit depuis la France.
La NSA fait des attaques sous fausse bannière: Les serveurs de l'université de Genève (en Suisse) ont été utilisés à cette fin.
L'antivirus Kapersky utilisé il y a quelques années par la NSA avait détecté dans un ou plusieurs ordinateurs de cette agence des virus, et comme tout anti-virus, il a rapatrié ces virus pour les étudier et rajouter leur signature dans sa base de donnée. C'est ce que tout anti-virus fait automatiquement, comme Norton, Panda etc.