Disney ne veut pas se soumettre à la législation Française qui est archaïque
Netflix n'est visiblement pas le seul géant mondial du streaming affecté par un ralentissement de sa croissance.
Participant à la conférence Goldman Sachs Communacopia, le PDG de Disney, Bob Chapek, aurait lui aussi admis un ralentissement du nombre d'abonnés, au niveau national et international, sur le trimestre en cours qui doit s'achever le 30 septembre prochain, rapporte le site Variety.
Parmi les raisons qui expliqueraient ce ralentissement, le responsable cite l'impact des retards de production induits par la pandémie de COVID - le groupe compterait actuellement des centaines de programmes en production.
Si Disney+ revendiquait 116 millions d'abonnés dans le monde au 3 juillet dernier, les prévisions du groupe se veulent optimistes, pariant que ce service de streaming très populaire puisse compter entre 230 millions et 260 millions d'abonnés payants au total d'ici la fin de l'exercice 2024.
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Disney ne veut pas se soumettre à la législation Française qui est archaïque