Le fournisseur de logiciels vidéo Synamedia a dévoilé une étude analysant l'impact du piratage des sports et des divertissements dans sept pays et les revenus potentiels qui résulteraient de la conversion des téléspectateurs pirates en abonnés légaux.
L'étude, menée par Ampere Analysis, révèle que la valeur du piratage du divertissement serait trois fois supérieure à celle du piratage sportif et que la fragmentation des droits sur un plus grand nombre de services affecte désormais le piratage sur le marché du divertissement comme il l'a fait pour le sport.
La recherche révèle que la comédie serait le genre de divertissement le plus piraté, avec la moitié de tous les téléspectateurs pirates diffusant illégalement de la comédie. Viennent ensuite les genres action et aventure, et respectivement la catégorie crime et thriller.
Les données montrent que l'arrêt du piratage d'une seule sortie de film majeur à Hollywood peut générer des revenus compris entre 130 et 280 millions de dollars rien qu'aux États-Unis, les superproductions de super-héros offrant les plus grandes opportunités.
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