Comme déjà évoqué dans nos articles, la Grande-Bretagne veut profiter du Brexit pour occuper une place sur l'échiquier mondial du secteur du satellite.
Après avoir déjà annoncé la mise en place d’un port spatial, les autorités locales évoquent maintenant les opportunités commerciales à gagner, à l’occasion de la présence sur le futur site du secrétaire britannique à l'entreprenariat.
Pour Greg Clark, le nouveau port spatial pourrait, en sus de créer 400 emplois, permettre à la Grande-Bretagne de lancer environ 2 000 satellites d’ici 2030 et s’octroyer ainsi une part importante dans le segment des petits satellites, un segment où le pays excelle.
Pour appuyer cette thèse, les autorités britanniques ont présenté des chiffres indiquant que les actuelles offres de lancement de satellites de petite taille sont capables de répondre à moins de 35% de la demande totale, montrant ainsi les lacunes du marché.
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