Orion

[...] ire spatial situé dans l’ISS, les États-Unis, mais également la Chine, rêvent désormais de la Lune et de Mars, prévoyant de s’y installer à partir de 2030 via leur nouveau vaisseau spatial  Orion , actuellement en cours de développement. Si le projet semble irréaliste pour certains en termes de timing, la pression exercée par Donald Trump devrait être suffisante pour inviter les scientifiques américains à réaliser l’impossible… tout comme ils l’avaient fait avec le premier homme sur la Lune, il y pratiquement 50 ans, suite au message de J.F. Kennedy ! Et comme les ambitions de l’actuel président américain n’ont pas de limites, il sera très curieux de voir à quoi ressemblera (et quel rôle lui sera réservé) cette fameuse « armée de l’espace » chère au résident de la Maison Blanche. Quant aux ambitions de Branson (Virgin), Bezos (Blue Origin) et Musk (SpaceX) de transporter des touristes dans l’espace, elles se font clairement atteindre. Il serait grand temps que le public, mais également les riches clients multinationaux qui financent ces projets afin de concrétiser leur rêve d’une aventure en apesanteur, puissent enfin voir quelque chose de palpable. Elon Musk, lui, a en tout cas pris les devants concernant son rêve d’offrir un accès à internet haut débit à bas coût au monde entier : la constellation Starlink a déjà en orbite 60 des 12 000 satellites prévus à ce effet. Enfin, à l’heure où l’écologie semble être de plus en plus présente dans le quotidien de chacun, le vrai défi dans l’espace de demain ne serait-il pas celui du combat à la pollution ? La ceinture de Clark est, on le sait, une véritable poubelle orbitale, où dérivent des centaines de débris et de satellites désactivés. Alors que s’annonce une nouvelle ère spatiale, notamment avec une multiplication de petits satellites dédiés à internet et à la [...]

[...] 1,6 milliard de dollars dans le budget de la nation pour mener à bien son rêve. Le but est d’envoyer des astronautes américains, d’abord sur la Lune, puis sur Mars avec le nouveau vaisseau  Orion  de la NASA. Le premier objectif défini par le président américain est clair : arriver sur la Lune dès 2024. L’agence spatiale américaine est prévenue : maintenant qu’elle a le budget, elle n’a plus le droit à l’erreur ! [...]

[...] res » pour assurer le succès de la mission. N’oublions pas, non plus, que la NASA planche également sur des missions vers Mars et l’espace lointain, qui seront réalisées par des vaisseaux  Orion . [...]

[...] ant la Station spatiale internationale et l’envoi des astronautes américains dans l’espace. En effet, depuis le retrait de ses anciennes navettes et avant la mise en place de son futur véhicule  Orion , la NASA est tributaire des Russes pour le transport de ses scientifiques vers l’ISS. [...]

[...] C'est vraiment la fin d'une époque dans le secteur spatial ! Après la traversée du désert que vit la NASA depuis déjà pas mal d'années, en attendant sa nouvelle navette  Orion , c'est au tour d'ArianeGroup de connaître la crise. Le groupe européen, né en 2014 de l’association d'Airbus et Safran, notamment pour développer le nouveau lanceur Ariane 6, vient ainsi d'a [...]

[...] Le module de service qui aidera le vaisseau spatial américain  Orion  de la NASA dans ses missions vers la Lune et Mars est arrivé au Centre Spatial Kennedy, aux États-Unis. Ce module, fourni par l’ESA (Agence Spatiale Européenne) et construit par Airbus, en Al [...]

[...] €™arrivée depuis Brême, en Allemagne, du module de service européen, la centrale qui fournira l’électricité, le contrôle technique, l’air, l’eau et la propulsion du futur vaisseau spatial  Orion  de la NASA, le 1er transporteur « maison » depuis le retrait des navettes américaines. À cette occasion, l’administrateur de la NASA, Jim Bridenstine, et le directeur général de l'ESA (Agence spatiale européenne), Jan Wörner, ainsi que d'autres hauts responsables des deux agences, discuteront avec les médias de la coopération internationale nécessaire pour envoyer des ê [...]

[...] ant la Station spatiale internationale, notamment l’intégration de vaisseaux spatiaux commerciaux dans la flotte de véhicules, le laboratoire en orbite, ainsi que les missions de vaisseau spatial  Orion  sur la Lune et au-delà. Ridings, originaire d’Amarillo, au Texas, a obtenu un baccalauréat ès sciences en génie mécanique de l’Université Texas A & M en 1996. Elle a rejoint la NASA en 1998 en tant que contrôleur de vol dans le groupe des opérations thermiques et a été choisie comme directrice de vol en 2005. Depuis lors, elle a occupé le poste de directrice de vol principale pour plusieurs missions, notamment l’Expédition 16 de la Station Spatiale Internationale en 2007-2008, la mission STS-127 de la navette spatiale en 2009 et la première Mission de vaisseau spatial Dragon à la station spatiale en 2012. [...]

[...] rnationale, notamment l’intégration de vaisseaux spatiaux commerciaux américains dans la flotte de véhicules desservant le laboratoire en orbite, ainsi que les missions du futur vaisseau spatial  Orion . [...]

[...] Les ingénieurs de la NASA seraient en train de plancher sur les nouvelles combinaisons spatiales qui équiperont les astronautes américains des futures missions  Orion . L'une des composantes importantes de ce développement concerne le système d'élimination des déchets humains, à savoir les toilettes. Appelés OCSSS (pour  Orion  Crew Survival Systems Suits), [...]