Kazakhstan

[...] l'armée russe, mais s'occupent également des lancements commerciaux. La Russie envisage de transférer petit à petit ses lancements de satellites militaires du cosmodrome de Baïkonour, situé au  Kazakhstan  (Asie centrale), à celui de Plessetsk, qui est en service depuis 1966. [...]

[...] , a indiqué l'Agence aérospatiale russe. Le lancement du vaisseau russe Progress doit être effectué le 21 mars à l'aide d'une fusée Soyouz qui décollera depuis le cosmodrome de Baïkonour, au  Kazakhstan , a précisé le service de presse de l'Agence. La Russie compte également effectuer en mars deux lancements commerciaux de satellites américains de communications, selon la même source. Un satellite Grace doit décoller à l'aide d'un lanceur russe Rokot le 15 mars depuis le cosmodrome russe de Plessetsk, dans la région d'Arkhanguelsk (nord-ouest). Un autre satel [...]

[...] l'armée russe, mais s'occupent également des lancements commerciaux. La Russie envisage de transférer petit à petit ses lancements de satellites militaires du cosmodrome de Baïkonour, situé au  Kazakhstan , à celui de Plessetsk, qui est en service depuis 1966. [...]

[...] l'armée russe, mais s'occupent également des lancements commerciaux. La Russie envisage de transférer petit à petit ses lancements de satellites militaires du cosmodrome de Baïkonour, situé au  Kazakhstan , à Plessetsk où elle développe un nouveau projet ambitieux, celui de la fusée Angara. [...]

[...] vre d'Astrium, ce satellite de 750 kg doit être lancé à l'aide d'une fusée russe, soit Rokot, dont les vols sont effectués depuis Plessetsk (nord de la Russie) soit Dniepr, tirée de Baïkonour ( Kazakhstan ). Le choix du lanceur fait actuellement l'objet de discussions. [...]

[...] a Novosti. Les Russes ont annoncé qu'ils sont en train d'achever la construction d'un nouveau lanceur Angara, qui sera utilisé à des fins militaires et dont le premier tir est prévu en 2003. Le  Kazakhstan  où se trouve le cosmodrome de Baïkonour loué par les Russes avait interdit pendant plusieurs mois les lancements des fusées Proton, suite à deux accidents survenus avec ce lanceur en juillet et en octobre 1999. Cette ex-république soviétique d'Asie centrale avait accusé Moscou d'avoir provoqué des dommages écologiques sur son territoire et n'a levé son interdiction qu'en février 2000. [...]

[...] es licences russes et sur la non-prolifération des technologies duales russes par les Australiens doivent être signés "d'ici deux à trois mois", selon la même source. Par rapport à Baïkonour ( Kazakhstan ), les tirs de fusée effectués depuis l'Océan indien permettent de lancer des charges plus lourdes et de dépenser moins de carburant en raison de la proximité de l'Equateur. [...]

[...] qué mercredi à l'AFP le service de presse des forces spatiales russes. Les trois satellites et leur lanceur Proton ont été transportés mercredi sur un pas de tir du cosmodrome de Baïkonour, au  Kazakhstan , a indiqué un responsable du cosmodrome, cité par l'agence Itar-Tass. Le système GLONASS a été mis en service en 1993 par le ministère russe de la Défense et devait compter au total 24 satellites pour couvrir tout le globe. Actuellement six satellites seulement sont en service en raison de problèmes de finance [...]

[...] Le satellite de télévision directe ASTRA 2C, qui avait été lancé le 16 juin à bord d'une fusée Proton depuis la base de Baïkonour ( Kazakhstan ), est opérationnel à 19,2 est, a annoncé la SES (Société européenne de satellites SA) qui l'exploite. ASTRA 2C est le 12ème satellite de la série ASTRA. Il a été construit par Boeing Satell [...]

[...] m, Dmitri Nikolaïev. "Nous pourrions augmenter les charges utiles des Soyouz en les lançant depuis Kourou en raison de sa plus grande proximité avec l'Equateur" que le cosmodrome de Baïkounour ( Kazakhstan ), d'où partent actuellement ces vaisseaux, a-t-il ajouté. Selon M. Nikolaïev, les vaisseaux Soyouz ne concurrencent pas la fusée européenne Ariane, plus grosse que le Soyouz et qui occupe un autre marché. "L'Europe ne doit pas fermer la porte au Soyouz", a-t-il dit. Le chef de l'Etat français était notamment accompagné par le ministre de la Recherche Roger-Gérard Schwartzenberg et la spationaute française Claudie André-Deshays, qui s'entraîne pour un vol en octobre à bord de la station spatiale internationale (ISS). L'ancien Premier ministre russe Sergueï Kirienko, qui représente le président Vladimir Poutine dans la région de la Volga, était également présent. La société Starsem est détenue pour moitié par des partenaires russes (l'Agence spatiale russe et le Centre de Samara) et pour moitié par des partenaires franco-européens (Aérospatiale 35% et Arianespace 15%). [...]