GPS
La société privée américaine de lancement de satellites SpaceX a finalement
[...] t 19,3 kg, appartenait au ministère américain de la Défense. Ce satellite devait observer les perturbations atmosphériques des télécommunications et du système de positionnement par satellite ( GPS ). Falcon 1 est un petit lanceur à deux étages de 21 mètres de hauteur qui a été mis au point par SpaceX, société fondée en 2002 par M. Musk, magnat de l'internet. Cette fusée est conçue pour mettre de petits satellites en orbite basse pouvant peser jusqu'à 570 kilos. La fusée est propulsée par un moteur alimenté par de l'oxygène liquide et du kérosène. M. Musk s'est fixé comme ambition de casser les prix de lancement des satellites. Un lancement sur une fusée Falcon 1 est proposé pour 6,7 millions de dollars, soit environ le tiers du prix du marché. SpaceX prévoit également de tester ultérieurement le Falcon 9, un lanceur de plus grande capacité. M. Musk avait vendu sa firme de règlements électroniques PayPal à eBay pour 1,5 milliard de dollars en 2002. [...]
L'Europe a "la tâche difficile, avec Galileo, d'être la première au monde à
[...] lation de satellites de navigation", a déclaré à Paris Jean-Jacques Dordain, directeur général de l'Agence spatiale européenne (ESA). "Aux Etats-Unis c'est la défense qui a lancé le système GPS , en Europe nous en sommes réduits à une approche commerciale, c'est plus difficile", a déclaré M. Dordain à propos des retards pris par les industriels européens pour créer la concession privée qui devra gérer Galileo. Cette constellation de 26 satellites doit assurer l'indépendance européenne face au GPS américain. "No [...]
Les huit industriels européens retenus par les autorités européennes pour cr
[...] res des transports de l'Union européenne, qui doit évoquer notamment l'avancement du programme de Galileo chargé de déployer 26 satellites en 2011 pour assurer l'indépendance de l'Europe face au GPS américain. Le commissaire européen aux transports Jacques Barrot avait dénoncé les tergiversations du consortium d'industriels le 15 mars dans une lettre envoyée d'abord à la présidence allemande de l'UE puis aux industriels eux-mêmes. Ce consortium, choisi en juin 2005 n'a constitué "aucune structure regroupant les huit partenaires" ni désigné "aucun négociateur" pour la représenter dans les discussions avec l'Autorité de surveillance de Galileo, écrivait M. Barrot, il y a une semaine. La concession regroupe huit grands noms de l'industrie du satellite européen: EADS, maison mère d'Airbus, les français Thales et Alcatel, l'italien Finmeccanica, les espagnols Aena et Hispasat, le britannique Inmarsat et l'allemand TeleOp. [...]
Près d'un an après l'échec de sa première tentative, Space Exploration
[...] 19,3 kg, appartenait au département américain de la Défense. Ce satellite devait observer les perturbations atmosphériques des télécommunications et du système de positionnement par satellite ( GPS ). Falcon 1 est un petit lanceur à deux étages de 21 mètres de hauteur qui a été mis au point par SpaceX, société fondée en 2002 par le milliardaire de l'internet Elon Musk. Cette fusée est conçue pour mettre de petits satellites en orbite basse pouvant peser jusqu'à 570 kilos. La fusée est propulsée par un moteur alimenté par de l'oxygène liquide et du kérosène. En créant SpaceX, Elon Musk s'est fixé comme ambition de casser les prix de lancement des satellites. C'est ainsi qu'un lancement sur une fusée Falcon 1 est proposé pour 6,7 millions de dollars, soit environ le tiers du prix du marché. SpaceX prévoit également de tester ultérieurement le Falcon 9, un lanceur de plus grande capacité. L'homme d'affaires avait vendu sa firme de règlements électroniques PayPal à eBay pour 1,5 milliard de dollars en 2002. [...]
Les entreprises espagnoles, accusées d'être à l'origine du retard dans le
[...] t, a ajouté M. Clos. Galileo, dont le premier signal devrait être émis en 2011, vise à affranchir les Européens de leur dépendance à l'égard du système américain de navigation par satellite GPS , dans des domaines devenus stratégiques comme la gestion du trafic aérien, maritime et automobile. Le projet réuni le britannique Inmarsat, le groupe européen EADS, les français Thales et Alcatel, les espagnols Hispasat et Aena, et l'italien Finmeccanica. La semaine dernière, des sources du secteur ont affirmé que Hispasat était responsable des retards. "L'espagnol Hispasat a tenté, purement et simplement, de rouvrir l'accord sur la distribution des opérations" du projet Galileo, a indiqué une source britannique, sous couvert de l'anonymat, tandis qu'une source à Paris dénonçait la "surenchère espagnole". Anea et Hispasat n'ont pas commenté ces accusations. Le 15 mars, la Commission européenne a "tiré la sonnette d'alarme" face aux entreprises chargées de développer le système. Dans une lettre en [...]
Le commissaire européen aux Transports a écrit à la présidence allemande de
[...] r et l'agenda global de Galileo", a-t-il ajouté. Galileo, dont le premier signal devrait être émis en 2011, vise à affranchir les Européens de leur dépendance à l'égard du système américain GPS , dans des domaines devenus stratégiques comme la gestion du trafic aérien, maritime et automobile. Bien qu'initialement attendu pour fin 2005 puis fin 2006, le contrat de concession entre partenaires publics et privés n'est toujours pas signé, officiellement pour des problèmes de "répartition des risques". Les 27 n'ont pas non plus réussi jusqu'ici à choisir la ville qui abritera l'autorité de surveillance du système.Le groupe espagnol Hispasat est responsable des retards pris dans le projet européen de système de navigation par satellite Galileo, dont il est l'un des partenaires, a estimé une source britannique du secteur. "L'espagnol Hispasat a tenté, purement et simplement, de rouvrir l'accord sur la distribution des opérations" du projet Galileo, a indiqué cette source à l'AFP. "Ils réclament des tâches qui ont déjà été attribuées à la France, à l'Allemagne et à la Grande-Bretagne. Ils réclament aussi une nouvelle station au sol, ainsi qu'une plus grande part dans la construction des satellites", a-t-elle précisé. "C'est Hispasat qui est à l'origine des blocages, personne d'autre. Ils essaient, dans un style très européen, de faire paniquer tout le monde pour obtenir ce qu'ils veulent", a conclu cette source. Interrogé par l'AFP, le partenaire britannique du projet, le groupe Inmarsat, s'est refusé à commenter ces informations. "Nous restons optimistes au sujet de Galileo et nous espérons que tous les problèmes seront résolus", a indiqué un porte-parole.Outre Hispasat et Inmarsat, le cons [...]
L'équipementier téléphonique finlandais Nokia a présenté au congrès 3GSM
[...] L'équipementier téléphonique finlandais Nokia a présenté au congrès 3GSM de la téléphonie mobile de Barcelone deux nouveaux téléphones, l'un avec GPS (géolocalisation par satellite) et l'autre avec télévision en direct. Le site de partage de vidéos en ligne YouTube sera aussi rendu disponible sur la plupart des téléphones de la marque, a an [...]
Les abonnements aux services de téléphonie mobile au Japon ont dépassé pour
[...] r attirer les abonnés de leurs concurrents au moyen de téléphones au design adapté à tous les goûts et dotés de toutes les fonctions possibles et imaginables (internet, baladeur, télévision, GPS , etc.). En janvier, NTT DoCoMo représentait plus de la moitié des abonnements (52,22 millions) suivi de KDDI (26,23 millions) et Softbank (15,66 millions). Une myriade de petits opérateurs locaux se partageaient les miettes du gâteau. [...]
Le directeur général de l'Agence spatiale européenne (Esa) Jean-Jacques
[...] urant que les dysfonctionnements enregistrés au niveau de l'agence étaient sous contrôle. Giove B, le second satellite destiné à valider en orbite les technologies retenues par le concurrent du GPS américain, est toujours bloqué au sol, alors que son lancement était initialement prévu au printemps 2006. Ce retard "est dû à un problème technique sur un composant qui a défailli lors d'essais, mais nous avons aussi rencontré des problèmes d'organisation", a reconnu M. Dordain lors d'une conférence de presse au siège de l'Esa. "Dès que les problèmes s [...]
La République tchèque tient dur comme fer à héberger le prestigieux
[...] La République tchèque tient dur comme fer à héberger le prestigieux programme de pilotage du satellite européen Galileo, un projet destiné à briser la dépendance de l'Europe vis-à-vis du GPS américain. Mais les enjeux sont aussi économiques. Et la compétition qui se déroule à l'échelle européenne entre les différents Etat est rude. D'autant plus que Bruxelles semble ne pas tenir [...]
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