Copernicus
EDRS fournira des services à Copernicus en coopération avec la Commission européenne
[...] s DS) concernant le Système européen de satellites de relais de données (EDRS), un accord a été trouvé avec la Commission européenne (CE) concernant la fourniture de services EDRS au programme Copernicus de l'Union européenne.
L'ESA et Airbus DS ont ensuite signé, le 20 février 2015, un accord de niveau de service (SLA) portant sur la fourniture de communications à grande vitesse aux missions Sentinelle 1 et Sentinelle 2 de Copernicus à compter de 2015 et jusqu'en 2021, avec une possib [...]
Sentinel 2A apte au service
[...] Defence and Space pour le compte de l'Agence spatiale européenne (ESA), est en cours de préparation pour sa mission dans l'espace.
Sentinel 2A sera le deuxième satellite lancé dans le cadre de Copernicus , un programme opérationnel de la Commission européenne, en partenariat avec l'ESA.
Les satellites "Sentinels" vont produire des données de télédétection de notre planète destinées à fournir des services opérationnels clés pour la protection de l'Environnement et la Sécurité.
Sentinel 2A fournira des images optiq [...]
ESA et Airbus DS : partenariat confirmé
[...] atellites de relais de données.
Cette décision a été prise à l'issue de la campagne d’essais de la première liaison intersatellite optique multi-gigabit entre les satellites Sentinel-1A de Copernicus et Alphasat. Cette campagne, précurseur du système européen de satellites de relais de données (EDRS), ouvre la voie à une approche radicalement nouvelle de la transmission de données, dans laquelle les systèmes spatiaux sont mis à contribution pour relever le défi mondial que représentent les mégadonnées.
Le syst [...]
2014, année historique pour Airbus Defence and Space
[...] rails.
Dans ce bilan, il évoque également les 10 contrats de satellites pour l’observation de la Terre et les sciences, les 7 satellites lancés, le déploiement du segment sol utilisateur de Copernicus ou le succès de la mission ATV5, sans oublier Rosetta, dont il est maître d’oeuvre de Rosetta.
Airbus Defense and Space tient également à rappeler qu’il est actuellement nº2 mondial des technologies spatiales, n°1 mondial de l’exportation de satellites, n°2 mondial des satellites de télécommunications et champion de la propulsion électrique de forte capacité. [...]
Le calendrier 2015 de l'Agence spatiale Européenne
[...] tellites de la constellation Galileo – la séquence de lancement, décidée par la Commission Européenne, est en cours d’évaluation – ; les second et troisième satellites de la constellation Copernicus (Sentinelle-2A, en mai et Sentinelle 3A, à l’automne) ; le 4 satellite Meteosat de 2ème génération (15 juin), la mission LISA Pathfinder (septembre) ou encore le satellite AG1 (dernier trimestre).
Les astronautes de l’ESA seront également à l’honneur, avec le retour sur Terre de l’astronaute Samantha Cristoforetti (12 mai), après six mois passés à bord la Station Spatiale Internationale et le départ vers celle-ci (pour une mission de 10 jours) d’Andreas Mogensen (1er mai).
Enfin, tout au long de l’année, Rosetta accompagnera la comète 67P/Tchourioumov- Guérassimenko sur la trajectoire qui l’amènera au plus près du Soleil pour s’en éloigner ensuite. Elle observa ainsi le réchauffement de la comète et recueillera des données scientifiques inédites sur les transformations subies par le noyau cométaire. Les résultats scientifiques déjà obtenus seront présentés aux médias lors d’un évé [...]
Calendrier établi pour le satellite Sentinel-1B
[...] pe SAR (Synthetic Aperture Radar) fonctionnant sur une orbite circulaire héliosynchrone à environ 695 km d’altitude est dédié au programme conjoint de l’ESA et de l’Union Européenne nommé Copernicus , complétant la capacité initiale offerte par le Sentinel-1A –lancé en avril dernier – en matière de surveillance radar de l’environnement et en matière de sécurité. [...]
Lancement du concours « Radar Constellation Challenge »
[...] », qui entend encourager le développement d’applications innovantes basées sur des images satellites radar.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du concours de surveillance de la Terre Copernicus Masters, qui vise à soutenir le développement d’applications orientées marché, basées sur des données d’observation de la Terre.
Ce défi porte sur l’utilisation créative de données haute résolution de satellites radar, en particulier celles de la future constellation TerraSAR-X / TanDEM-X et PAZ. Opéra [...]
Le satellite Sentinel-1A sur le départ
[...] être lancé à travers une fusée Soyouz-Fregat A, depuis le centre spatial de Kourou, Guyane française.
Sentinel-1A est le premier satellite du programme d’Observation de la Terre européen Copernicus (anciennement GMES), programme coordonné par la Commission Européenne, l’Agence Spatiale Européenne (ESA) étant en charge de la composante spatiale.
L'objectif de Copernicus est d'assurer l'indépendance européenne dans l'acquisition et la gestion de données environnementales de notre planète, afin de soutenir les [...]
Le satellite Sentinelle 1A prêt au départ
[...] Tout est prêt à Kourou pour le lancement du premier satellite du programme européen Copernicus , prévu pour le 3 avril prochain.
La flotte de satellites Sentinelles réalisée par l’E.S.A. livrera une moisson de données et d’images jouent un rôle crucial pour le programme Copernicus d [...]
5 questions à Jean-Jacques Dordain, Directeur général de l'ESA
[...] e la prochaine mission que nous lancerons début avril. Sentinelle-1 ouvre le premier chapitre des missions dédiées aux services opérationnels pour l’environnement et la sécurité des citoyens, Copernicus , programme que nous menons en coopération avec l’UE.
Télé Satellite & Numérique : Vous avez présenté récemment l’agenda de l’ESA pour 2014. Au regard des différents retards liés à ce projet mais également à l’attente qu’il suscite, peut-on considérer le début du service Galileo, prévu pour la fin de l’année, comme le point culminant de cette année 2014 ?
Jean-Jacques Dordain : La navigation par satellite est un programme-phare de l’UE, avec Copernicus , et est devenue une partie importante de nos activités, par délégation de la Commission européenne. Alors que le système GPS américain et le système Glonass russe ont été développés à l'origine à des fins militaires, le système Galileo est civil et offrira un service garanti qui sera compatible avec le GPS et le Glonass. En effet, un récepteur pourra utiliser n'importe quel satellite, qu’il soit américain, russe ou européen. Galileo offrira une précision de localisation de 3 à 5 m, ce qui est aujourd’hui une performance inégalée.Tout a commencé en 2005 avec le lancement de GIOVE-A, premier satellite test de Galileo qui est resté opérationnel jusqu'en 2012. L’aventure s’est poursuivie avec GIOVE-B (2008-2012), qui a démontré avec succès les technologies innovantes du système. Ensuite quatre satellites Galileo opérationnels ont été lancés en 2011 et 2012 et ont permis de valider le système en orbite. Il est prévu de lancer six satellites Galileo cette année, ce qui permettra de qualifier les premiers services dès la fin de cette année. Les performances mesurées des quatre satellites déjà en orbite, en termes de localisation et de synchronisation, sont déjà deux fois supérieures à que ce qui était demandé, et donc nettement meilleures que les performances actuelles du GPS. C'est un bon début et l’ouverture des premiers services - service ouvert, Recherche & Sauvetage, service public réglementé - est donc prévue à partir de début 2015.
Télé Satellite & Numérique : Le budget de l’E.S.A. pour cette année est d’un peu plus de 4 milliards. Est-ce suffisant pour mener à bien tous les projets ?
Jean-Jacques Dordain : Le budget de cette année va être suffisant pour couvrir les nombreuses activités que nous avons engagées et les nombreuses missions qui seront lancées ou achevées cette année : le premier lancement d’un satellite Sentinelle du programme Copernicus pour la surveillance globale de l'environnement et la sécurité; les six satellites de la constellation Galileo, lancés deux par deux par trois lanceurs Soyouz ; le lancement de l'ATV- 5 par Ariane 5 et celui du véhicule spatial IXV par le lanceur Vega ; les missions de nos astronautes Alexander Gerst et Samantha Cristoforetti à bord de la Station spatiale internationale ; l'arrivée de Rosetta sur sa comète cible... En outre, cette année est très particulière car nous allons célébrer le cinquantenaire de la coopération européenne dans le domaine spatial. Réussir toutes ces missions est déjà un grand défi ; l’autre défi se situe à la fin de l'année. En effet, début décembre, le Conseil de l’ESA se réunira au niveau ministériel, réunion une fois de plus hautement importante pour l'avenir de l'Europe spatiale, puisque les décisions demandées façonneront les dix années à venir, tant pour le secteur des lanceurs et l’exploitation de l'ISS, qu’en termes d’évolution de l'ESA, en particulier pour ce qui concerne ses relations avec l'UE.
Télé Satellite & Numérique : Quel regard portez-vous sur l’actualité spatiale, notamment sur la concurrence des autres agences spatiales ?
Jean-Jacques Dordain : Nous regardons avec un grand intérêt les nouveaux acteurs « privés » qui se positionnent dans le spatial sur la base d’un marché public garanti. Nous apprenons d'eux, mais eux aussi sont désireux de coopérer avec nous. En témoigne notamment la récente coopération engagée à la demande de la société californienne Sierra Nevada. Nous avons signé en janvier avec cette société un accord qui vise à identifier des possibilités de collaboration autour du projet de système de transport orbital Dream Chaser. Le Dream Chaser est un des candidats au développement des systèmes de transport privés pour assurer la rotation des équipages à bord de la Stati [...]
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