Rédaction
14 mars 2008 à 01h00
Le groupe M6 lancera le 19 mars un service de télévision de rattrapage (catch-up TV), permettant aux internautes de voir ou revoir gratuitement une large partie des programmes de M6. M6 est ainsi la première chaîne gratuite française à proposer un tel service. La chaîne payante Canal+ a lancé son service de télévision de rattrapage mardi dernier. Son service est accessible aux seuls abonnés à Canal+ Le Bouquet.
L'offre de M6, baptisée M6 Replay, est gratuite, avec un financement par la publicité. Elle sera accessible à toute personne possédant un ordinateur et une connexion internet haut débit. La plupart des programmes de M6 seront accessibles sur www.m6.fr ou www.m6replay.fr une heure après leur diffusion à la télévision, et pendant sept à quinze jours, a indiqué Valéry Gerfaud, directeur général de M6 Web, lors d'une conférence de presse. Sur la page d'accueil, l'internaute choisit son programme en fonction du genre (les séries, y compris américaines, et la fiction, les divertissement, les magazines, l'information) ou de l'horaire. Le visionnage se fait sans abonnement et sans inscription. Quelque 200 programmes seront disponibles dès le lancement. Les films de cinéma et le sport (à l'exception des magazines) sont absents de cette offre pour des questions de droits. Mais pour le sport, cela se règlera au fur et à mesure des achats de droits, a précisé Nicolas de Tavernost, président du directoire du groupe M6. Pour Nicolas de Tavernost, "l'objectif est simple, c'est que les marques de M6 soient diffusées partout, à 370 degrés (sic)". Interrogé sur le risque d'une baisse de l'audience télévisuelle provoquée par un glissement des téléspectateurs vers le site M6 Replay, Nicolas de Tavernost a déclaré: "Nous pensons que ce sont des consommations additionnelles plutôt que de substitution". Il existe en outre des mesures d'audience des sites internet, a-t-il rappelé. Les dirigeants de M6 espèrent également que les téléspectateurs, notamment les jeunes, iront désormais sur M6 Replay pour voir ou revoir leurs programmes préférés, plutôt que sur des sites de partages qui hébergent des vidéos piratées. Le groupe a pour objectif un résultat opérationnel à l'équilibre d'ici trois ans. Le modèle économique repose sur un financement par la publicité: une bannière, un pavé à droite de la page et un spot diffusé avant la vidéo. "On va voir comment réagissent les annonceurs et les internautes", a indiqué M. Gerfaud, qui n'exclut pas une nouvelle coupure sur les programmes les plus longs.
L'offre de M6, baptisée M6 Replay, est gratuite, avec un financement par la publicité. Elle sera accessible à toute personne possédant un ordinateur et une connexion internet haut débit. La plupart des programmes de M6 seront accessibles sur www.m6.fr ou www.m6replay.fr une heure après leur diffusion à la télévision, et pendant sept à quinze jours, a indiqué Valéry Gerfaud, directeur général de M6 Web, lors d'une conférence de presse. Sur la page d'accueil, l'internaute choisit son programme en fonction du genre (les séries, y compris américaines, et la fiction, les divertissement, les magazines, l'information) ou de l'horaire. Le visionnage se fait sans abonnement et sans inscription. Quelque 200 programmes seront disponibles dès le lancement. Les films de cinéma et le sport (à l'exception des magazines) sont absents de cette offre pour des questions de droits. Mais pour le sport, cela se règlera au fur et à mesure des achats de droits, a précisé Nicolas de Tavernost, président du directoire du groupe M6. Pour Nicolas de Tavernost, "l'objectif est simple, c'est que les marques de M6 soient diffusées partout, à 370 degrés (sic)". Interrogé sur le risque d'une baisse de l'audience télévisuelle provoquée par un glissement des téléspectateurs vers le site M6 Replay, Nicolas de Tavernost a déclaré: "Nous pensons que ce sont des consommations additionnelles plutôt que de substitution". Il existe en outre des mesures d'audience des sites internet, a-t-il rappelé. Les dirigeants de M6 espèrent également que les téléspectateurs, notamment les jeunes, iront désormais sur M6 Replay pour voir ou revoir leurs programmes préférés, plutôt que sur des sites de partages qui hébergent des vidéos piratées. Le groupe a pour objectif un résultat opérationnel à l'équilibre d'ici trois ans. Le modèle économique repose sur un financement par la publicité: une bannière, un pavé à droite de la page et un spot diffusé avant la vidéo. "On va voir comment réagissent les annonceurs et les internautes", a indiqué M. Gerfaud, qui n'exclut pas une nouvelle coupure sur les programmes les plus longs.
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