M6 diffusera demain, à la veille de sa rentrée au palais omnisports de Paris Bercy (du 12 au 28 janvier), un Fréquenstar dédié à Michel Sardou, dont le dernier album, "Français", sonne comme une profession de foi. Partageant avec son ami Johnny Hallyday le titre de chanteur français le plus populaire, Sardou a su donner une voix à la France qui n'est pas à la mode. Au fil des ans, il a fini par gommer l'image de "chanteur réac" que lui valurent des tubes comme "Le France", "Je suis pour" ou "Les Ricains", pour devenir une sorte de patriarche, incarnant une certaine sagesse. Laurent Boyer, l'animateur de Frequenstar, a suivi le chanteur sur les sites chers à son enfance (la calanque de Maldormé, près de Marseille, où il pêchait des oursins avec son père Fernand), au travail (on le voit préparer son prochain spectacle parisien), dans sa résidence de Neuilly-sur-Seine. Témoignent aussi un de ses fils, Davy, qui tente une carrière au théâtre aux Etats-Unis, et Guy Bedos, qui explique comment son animosité des débuts envers le chanteur a laissé place au fil des années à une forme d'amitié
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