Rédaction
7 octobre 2009 à 02h00
3
Le passage à la TNT d'ici 2011 risque d'entraîner une baisse du nombre de foyers recevant directement les chaînes, redoutent des députés, qui ont obtenu la suspension de l'examen d'un texte sur la fracture numérique, mardi à l'Assemblée en commission, le temps d'auditionner le CSA. "Dans mon département, le taux de couverture passerait de 88% en analogique à 79% avec la TNT. Je n'accepte pas cela", a protesté le député-maire d'Agen Jean Dionis du Séjour. Ce dernier a demandé que la couverture d'un département par la TNT ne soit pas inférieure à 5% par rapport à la couverture analogique. Son amendement a été adopté contre l'avis du président de la commission Patrick Ollier. Fait inhabituel, la commission a alors suspendu l'examen du texte "lutte contre la fracture numérique", dont l'examen en séance publique est prévu en novembre-décembre. "On va auditionner le CSA, qui va répondre aux interrogations des députés concernant la couverture de leur département", a indiqué Patrick Ollier.
Député PS de l'Isère, François Brottes s'inquiète également pour certaines zones de montagne et critique un texte "qui instaure une fracture numérique
durable". M. Dionis du Séjour a demandé que la couverture d'un département par la TNT ne soit pas inférieure à 5% par rapport à la couverture analogique.
Son amendement a été adopté contre l'avis du président de la commission Patrick Ollier (UMP), selon M. Brottes.Fait inhabituel, la commission a alors suspendu l'examen du texte "lutte contre la fracture numérique", dont l'examen en séance publique est prévu en novembre-décembre. "On va auditionner le CSA, qui va répondre aux interrogations des députés concernant la couverture de leur département", a indiqué à l'AFP le président
de la commission des Affaires économiques Patrick Ollier.
La secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet n'assistait pas au débat mardi. Michel Mercier, ministre de
l'Aménagement du Territoire, représentait le gouvernement. A l'origine, le texte est une proposition de loi sénatoriale.
Député PS de l'Isère, François Brottes s'inquiète également pour certaines zones de montagne et critique un texte "qui instaure une fracture numérique
durable". M. Dionis du Séjour a demandé que la couverture d'un département par la TNT ne soit pas inférieure à 5% par rapport à la couverture analogique.
Son amendement a été adopté contre l'avis du président de la commission Patrick Ollier (UMP), selon M. Brottes.Fait inhabituel, la commission a alors suspendu l'examen du texte "lutte contre la fracture numérique", dont l'examen en séance publique est prévu en novembre-décembre. "On va auditionner le CSA, qui va répondre aux interrogations des députés concernant la couverture de leur département", a indiqué à l'AFP le président
de la commission des Affaires économiques Patrick Ollier.
La secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet n'assistait pas au débat mardi. Michel Mercier, ministre de
l'Aménagement du Territoire, représentait le gouvernement. A l'origine, le texte est une proposition de loi sénatoriale.
TNT › Autres articles à lire
-
16
-
14
-
28
-
38
-
35
-
29
-
26
-
100
-
15
-
36
!
Pour lire les commentaires et participer, vous devez vous identifier.
Connectez-vous ou devenez membre pour participer et profiter d'autres avantages.
Derniers coms
+ commentés
Forums