Comme d'ailleurs sur les dossiers TV5Monde, France 24, RFI, etc... bref il n'y connait absolument rien mais ne parle beaucoup.
L'Elysée a reçu hier mardi les syndicats de l'audiovisuel public et tenté de les rassurer sur les conséquences de la fin de la publicité, mais rien n'est encore décidé sur les pistes de financement, a indiqué l'intersyndicale qui maintient son appel à la grève pour mercredi. La ministre de la Culture et de la Communication, Christine Albanel, va ouvrir dans les prochains jours une concertation avec les syndicats pour les associer à la réflexion, et notamment à la renégociation des cahiers des charges des chaînes de France Télévisions, a affirmé à l'AFP Jean-François Téaldi, porte-parole de l'intersyndicale, à l'issue d'une rencontre au palais présidentiel. L'Elysée a "réaffirmé que le périmètre de France Télévisions serait maintenu, qu'il n'y aurait pas de privatisation, et que le manque à gagner, évalué à 1,2 milliard d'euros (800 millions de recettes publicitaires perdues et financement des programmes de substitution, NDLR) serait compensé euro par euro", a ajouté le porte-parole. "Ils se sont prononcés pour un panachage des ressources, mais aucune décision n'est prise pour combler le déficit publicitaire subi par France Télévisions. Ils s'interrogent sur tout... cela nous inquiète", a commenté M. Téaldi. "Sarkozy a fait une annonce qui bouleverse le paysage audiovisuel français sans avoir auparavant de plan de financement. D'où la nécessité d'une grosse mobilisation mercredi", a-t-il commenté. Le président Nicolas Sarkozy devrait s'exprimer "dans les jours qui viennent" sur les mécanismes de financement de son projet, le calendrier et la méthode, selon l'intersyndicale rapportant les propos tenus à l'Elysée. Par ailleurs selon un proche du président, il est possible que le président de la holding regroupant RFI, France 24 et TV5Monde, soit nommé vendredi.
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3 commentaires
Comme d'ailleurs sur les dossiers TV5Monde, France 24, RFI, etc... bref il n'y connait absolument rien mais ne parle beaucoup.
mais maintenant reste a trouver le financement équivalent pour assurer des programmes de qualités, ce qui pourrait n'etre bénéfique pour le service publique. si celui-ce se demarque sans se souccier de l'audimat, nous pourrions avoir le choix de chaines privés bourrés de pub et de série américaines, et en face des chaines de qualité.
reste a savoir comment cela va etre négocier