Voici le programme du magazine "66 minutes" présenté par Aïda Touhiri et qui sera diffusé à 17h40 sur M6.1/ Les néo-nazis israéliens : Cela ressemble à un mauvais canular, et pourtant c'est vrai : à la stupéfaction générale, la police israélienne démantelait début septembre un groupuscule néo-nazi. Ses membres étaient de jeunes israéliens de 16 à 21 ans, d'origine russe. Leur slogan : « Mort à la race maudite ». Profanation de synagogues, agressions d'homosexuels, d'étrangers et de juifs religieux... Il y aurait plusieurs centaines de néo-nazis israéliens, jusque dans les rangs de l'armée, et ils commettraient une centaine d'agressions par an. Un phénomène inquiétant né avec l'arrivée massive d'immigrants russes, qui ne se considèrent pas toujours comme juifs.
2/Chasse à l'homme dans les rues de Paris: Pour tuer sa cible, Christian a planqué pendant des heures dans sa voiture. C'était son premier contrat, la première fois qu'il enfilait le costume d'un tueur. Car en réalité, Christian est juriste. Pendant un mois, avec 150 autres fanas de jeux de rôle, il a participé à une guérilla organisée dans tout Paris. C'est le dernier cri du genre, organisé par un avocat américain. Une chasse à l'homme à coups de pistolets à eau, avec à la fin un seul survivant. Un thriller désopilant, en plein coeur de la capitale.
3/ Les « rugby-girls »: Pour s'intéresser au rugby, Fanny n'a pas attendu que la coupe du monde ait lieu en France. Enfant, quand la plupart de ses copines se mettaient à la danse, elle enfilait sa première paire de crampons. A 21ans, Fanny est une des 6000 joueuses de rugby que compte le pays. Aujourd'hui elle joue en équipe de France féminine. Comment concilier féminité et sport de brutes, 3ème mi-temps et vie de famille? Portrait de femmes qui aiment courir dans la boue derrière un ballon ovale...
4/Le combat d'une top model contre l'excision: Jadis égérie d'Yves Saint-Laurent, l'ex-top model africaine Katoucha parcourt aujourd'hui les villages du Sénégal pour combattre l'excision. Une tradition qui consiste à mutiler les organes génitaux pour priver les femmes de plaisir sexuel. C'est illégal, mais aujourd'hui encore, une Sénégalaise sur quatre est excisée. Katoucha a elle-même subi cette ablation quand elle avait 9 ans. Mais comment éradiquer cette tradition centenaire ?