Rédaction
6 mars 2002
Vivendi Universal a accusé en 2001 une perte
comptable nette de 13,6 milliards d'euros, après avoir décidé de passer des
amortissements de survaleurs pour un total de 15,7 milliards d'euros selon les
normes comptables françaises, a annoncé mardi son PDG Jean-Marie Messier.
Ces amortissements résultent du passage du groupe aux normes comptables
américaines à compter de l'exercice 2002 et d'une dépréciation d'actifs
achetés par Vivendi, compte tenu de la baisse des marchés ces deux dernières
années.
Les charges comptables ne traduisent "en aucune façon une destruction de
valeur pour l'entreprise", a souligné M. Messier.
Sur une base pro forma, c'est-à-dire en tenant compte des variations de
périmètre du groupe, l'EBITDA (excédent brut d'exploitation) des activités
médias et communications du groupe a grimpé de 34% à légèrement plus de 5
milliards d'euros, le résultat d'exploitation effectif a grimpé de 89%, et le
free cash flow opérationnel s'est établi à 2 milliards d'euros en 2001 contre
zéro l'année précédente. Le groupe a maintenu un dividende à un euro par
action.
Avant les amortissements et exceptionnels "nous avons atteint ou dépassé la
totalité des objectifs du groupe, nous avons gagné des parts de marché dans
tous les métiers", s'est félicité M. Messier, estimant que Vivendi Universal
est un groupe "qui va mieux que bien".
A la fin décembre 2001, l'endettement net de la partie médias et
communication s'élevait à 14,6 milliards d'euros en normes comptables
françaises et à 19,1 milliards d'euros en normes comptables américaines, a
précisé M. Messier. Le groupe se fixe comme objectif de garder un endettement
inférieur à 3 fois l'EBITDA en 2002 et inférieur à 2,5 fois l'EBITDA à moyen
terme.
comptable nette de 13,6 milliards d'euros, après avoir décidé de passer des
amortissements de survaleurs pour un total de 15,7 milliards d'euros selon les
normes comptables françaises, a annoncé mardi son PDG Jean-Marie Messier.
Ces amortissements résultent du passage du groupe aux normes comptables
américaines à compter de l'exercice 2002 et d'une dépréciation d'actifs
achetés par Vivendi, compte tenu de la baisse des marchés ces deux dernières
années.
Les charges comptables ne traduisent "en aucune façon une destruction de
valeur pour l'entreprise", a souligné M. Messier.
Sur une base pro forma, c'est-à-dire en tenant compte des variations de
périmètre du groupe, l'EBITDA (excédent brut d'exploitation) des activités
médias et communications du groupe a grimpé de 34% à légèrement plus de 5
milliards d'euros, le résultat d'exploitation effectif a grimpé de 89%, et le
free cash flow opérationnel s'est établi à 2 milliards d'euros en 2001 contre
zéro l'année précédente. Le groupe a maintenu un dividende à un euro par
action.
Avant les amortissements et exceptionnels "nous avons atteint ou dépassé la
totalité des objectifs du groupe, nous avons gagné des parts de marché dans
tous les métiers", s'est félicité M. Messier, estimant que Vivendi Universal
est un groupe "qui va mieux que bien".
A la fin décembre 2001, l'endettement net de la partie médias et
communication s'élevait à 14,6 milliards d'euros en normes comptables
françaises et à 19,1 milliards d'euros en normes comptables américaines, a
précisé M. Messier. Le groupe se fixe comme objectif de garder un endettement
inférieur à 3 fois l'EBITDA en 2002 et inférieur à 2,5 fois l'EBITDA à moyen
terme.
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