Jean-Yves Lafesse, spécialiste de l'imposture télévisuelle, et sa société, réclament huit millions d'euro de dommages et intérêts, dont deux millions au titre du préjudice moral, à YouTube, leader du partage de vidéo en ligne et où un de ses sketches à été visionné plus de 110.000 fois. Dailymotion écope pour sa part d'une demande de réparation à hauteur de 1,5 million d'euros. En ce qui concerne MySpace, qui héberge des espaces web personnalisés, les juges ont été saisis en référé, afin qu'ils ordonnent des mesures provisoires mais rapides visant à préserver les droits du demandeur. De leur côté, les sites arguent qu'ils sont juste des intermédiaires techniques permettant aux internautes de partager leurs vidéos. Ils ne sont donc pas responsables du contenu.
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