GPS

[...] ison de 56º par rapport à l’Equateur afin de fournir des services de positionnement global très précis. L’un de ses grands atouts est qu’il sera interopérable avec les systèmes américain  GPS  et russe Glonass. Ces deux satellites, fabriqués par le groupe OHB System, ont été nommés « Doresa » et « Milena », en hommage aux deux enfants vainqueurs du concours organisés en 2011 par la Commission Européenne. [...]

[...] , a lancé MyCompanion, un "collier connecté" pour animaux de compagnie. D'une taille de 4cm de côtés pour 2cm d'épaisseur, le boitier étanche intégré au collier possède une balise GSM/ GPS /GPRS et plusieurs capteurs pour localiser son animal de compagnie et d'autres types d'informations sur son activité physique telle que la distance parcourue et les calories brûlées par ses déplacements. Toutes ces informations sont accessibles via une appl [...]

[...] en contact avec le monde entier. Parmi les nombreuses fonctionnalités disponibles sur cet IsatPhone 2, on retrouve un bouton d’aide qui, en cas d’urgence, envoie des données de localisation  GPS  avec un texte prédéfini par l’utilisateur ou encore une capacité de suivi qui peut être utilisée pour indiquer la localisation de l’utilisateur sur une carte interactive. [...]

[...] avigation par satellite est un programme-phare de l’UE, avec Copernicus, et est devenue une partie importante de nos activités, par délégation de la Commission européenne. Alors que le système  GPS  américain et le système Glonass russe ont été développés à l'origine à des fins militaires, le système Galileo est civil et offrira un service garanti qui sera compatible avec le  GPS  et le Glonass. En effet, un récepteur pourra utiliser n'importe quel satellite, qu’il soit américain, russe ou européen. Galileo offrira une précision de localisation de 3 à 5 m, ce qui est aujourd’hui une performance inégalée.Tout a commencé en 2005 avec le lancement de GIOVE-A, premier satellite test de Galileo qui est resté opérationnel jusqu'en 2012. L’aventure s’est poursuivie avec GIOVE-B (2008-2012), qui a démontré avec succès les technologies innovantes du système. Ensuite quatre satellites Galileo opérationnels ont été lancés en 2011 et 2012 et ont permis de valider le système en orbite. Il est prévu de lancer six satellites Galileo cette année, ce qui permettra de qualifier les premiers services dès la fin de cette année. Les performances mesurées des quatre satellites déjà en orbite, en termes de localisation et de synchronisation, sont déjà deux fois supérieures à que ce qui était demandé, et donc nettement meilleures que les performances actuelles du  GPS . C'est un bon début et l’ouverture des premiers services - service ouvert, Recherche & Sauvetage, service public réglementé - est donc prévue à partir de début 2015. Télé Satellite & Numérique : Le budget de l’E.S.A. pour cette année est d’un peu plus de 4 milliards. Est-ce suffisant pour mener à bien tous les projets ? Jean-Jacques Dordain : Le budget de cette année va être suffisant pour couvrir les nombreuses activités que nous avons engagées et les nombreuses missions qui seront lancées ou achevées cette année : le premier lancement d’un satellite Sentinelle du programme Copernicus pour la surveillance globale de l'environnement et la sécurité; les six satellites de la constellation Galileo, lancés deux par deux par trois lanceurs Soyouz ; le lancement de l'ATV- 5 par Ariane 5 et celui du véhicule spatial IXV par le lanceur Vega ; les missions de nos astronautes Alexander Gerst et Samantha Cristoforetti à bord de la Station spatiale internationale ; l'arrivée de Rosetta sur sa comète cible... En outre, cette année est très particulière car nous allons célébrer le cinquantenaire de la coopération européenne dans le domaine spatial. Réussir toutes ces missions est déjà un grand défi ; l’autre défi se situe à la fin de l'année. En effet, début décembre, le Conseil de l’ESA se réunira au niveau ministériel, réunion une fois de plus hautement importante pour l'avenir de l'Europe spatiale, puisque les décisions demandées façonneront les dix années à venir, tant pour le secteur des lanceurs et l’exploitation de l'ISS, qu’en termes d’évolution de l'ESA, en particulier pour ce qui concerne ses relations avec l'UE. Télé Satellite & Numérique : Quel regard portez-vous sur l’actualité spatiale, notamment sur la concurrence des autres agences spatiales ? Jean-Jacques Dordain : Nous regardons avec un grand intérêt les nouveaux acteurs « privés » qui se positionnent dans le spatial sur la base d’un marché public garanti. Nous apprenons d'eux, mais eux aussi sont désireux de coopérer avec nous. En témoigne notamment la récente coopération engagée à la demande de la société californienne Sierra Nevada. Nous avons signé en janvier avec cette société un accord qui vise à identifier des possibilités de collaboration autour du projet de système de transport orbital Dream Chaser. Le Dream Chaser est un des candidats au développement des systèmes de transport privés pour assurer la rotation des équipages à bord de la Station spatiale internationale à partir de 2017. Cette navette sera capable de transporter des astronautes et du fret et de revenir sur Terre, de la même manière qu’un avion.En ce qui concerne les autres agences spatiales, la coopération est croissante avec la NASA aux États-Unis, Roskosmos en Russie, la JAXA au Japon, la CNSA en Chine, etc.Emblème de la coopération, la Station spatiale internationale nous apprend comment vivre et travailler ensemble dans l'espace sur de longues périodes. Elle est non seulement la réalisation technique la plus audacieuse et la plus complexe de l'histoire humaine, mais aussi l'un des exemples les plus réussis de l'histoire de la coopération entre les gouvernements de la planète. L'ISS est conçue pour mener des activités scientifiques et technologiques, mais sa plus grande contribution sera probablement les leçons qu'elle nous apporte en termes de coopération internationale.Quand je pense à la coopération, je pense aussi à ExoMars, projet mené en coopération avec Roskosmos (Russie) et auquel la NASA apporte également sa contribution. Les deux missions ExoMars (en 2016 et 2018) vont explorer l'environnement martien et se concentrer en particulier sur des questions d'astrobiologie en essayant de déceler la présence de formes [...]

[...] assurera la couverture de stations majeures situées au Canada, au Mexique et à Porto Rico, ainsi que dans la zone continentale américaine et en Alaska, tout en améliorant la précision du signal  GPS  qui passera de 100 mètres à 7 mètres. Les pilotes aux commandes d'appareils de l'aviation générale ou exerçant sur des lignes commerciales pourront ainsi exploiter des données extrêmement précises pour affiner leurs trajectoires de vol et leurs manœuvres d’approche à proximité des aéroports ou des pistes d’atterrissage. Actuellement en construction chez Boeing, le Satmex 9 devra être mis sur la position orbitale 117º Ouest au seconde trimestre 2015, offrant des ressources additionnelles à plus de 45 pays et régions du continent américain. [...]

[...] Allison Fried : Le CES est notre événement phare et au cours de ces 47 ans d'histoire du salon, nous avons assisté à une évolution des technologies comme le magnétoscope, le lecteur DVD, le  GPS , la TV HD, la tablette, le smartphone, la TV 3D, l'Ultra HD, les technologies de détection, la technologie portable et bien d'autres encore. Le fait que beaucoup de ces technologies qui ont entraîné un changement majeur aient été lancées lors du CES est un exploit incroyable. Chaque année, quelque 20 000 produits sont lancés pendant ce salon parce que c'est l'endroit où tous, du plus petit entrepreneur aux plus grandes marques mondiales, peuvent tester la commercialisation des nouvelles idées, des technologies et des produits. Télé Satellite & Numérique : L'Ultra HD aura, une nouvelle fois, une place de prédilection au cours de cette édition. Quelles autres innovations technologiques seront présentées ? Allison Fried : Le CES est une plate-forme pour tous les innovateurs, grands ou petits, qui viennent ici pour amener leurs idées jusqu'au niveau suivant. Des appareils connectés, aux imprimantes 3D, en passant par les voitures sans conducteur, les appareils mobiles et l'Ultra HD, le CES 2014 mettra en vedette des produits remarquables dans toutes les catégories de produits, y compris celles des nouvelles catégories émergentes. On pourra y retrouver quelques-unes des plus grandes entreprises du monde mais également des start-up innovantes dans notre parc Eureka TechZone, où il est possible de découvrir les technologies de demain qui n'ont pas même pas encore été cataloguées. Télé Satellite & Numérique : Pouvez-vous imaginer comment seront les tendances et le CES dans dix ans ? Allison Fried : Comme de plus en plus de gens possèdent des smartphones et s'habituent à être toujours connectés, nous assisterons à un mouvement continu vers l '«internet des objets», qui englobe tous les objets connectés, des systèmes de sécurité à domicile aux réfrigérateurs. La connectivité accrue permettra un meilleur contrôle et la gestion de notre vie quotidienne et cela va se refléter dans les choix d'achats des consommateurs.Un autre domaine qui est en pleine croissance est celui des capteurs MEMS qui peuvent détecter, traiter et même contrôler l'environnement. Cette technologie inclut la reconnaissance des gestes, la technologie « eye-tracking », les détecteurs de mouvement et la réalité augmentée. Cette technologie jouera un rôle de pl [...]

[...] par satellite et fournit ses produits et services à des sociétés telles que THALES, Astrium, Air France ainsi qu’à l’Armée française. Le bâtiment est d’ailleurs équipé d’une station  GPS  à l’exactitude centimétrique. Pulseo héberge également « Grand Dax Très Haut Débit », opérateur de télécommunication et délégataire de service public en charge de l’implantation de la fibre optique et de l’accès au très haut débit dans la zone du Grand Dax, et dont nous vous rapportions il y a quelques jours la mise en place d'une aide spécifique pour l’équipement des foyers en connexion Internet par satellite en attendant l’arrivée de la fibre optique dans le déploiement est en cours à Dax et dans plusieurs communes du Grand Dax. Parmi les autres équipements mis à la disposition par Pulseo, une connexion haut débit (et prochainement très haut débit via la fibre), une imprimante 3D, un laboratoire d’essais en libre accès et un Data Center Tier 3 public, c'est-à-dire sans vocation à être rentable mais à fournir un servic [...]

[...] proposons aujourd'hui les tests deux récepteurs de la marque SEDEA. Une fusée russe Proton-M a explosé avec ses 3 satellites (vidéo) Une fusée russe Proton-M avec trois satellites du système  GPS  russe Glonass a explosé ce matin, quelques secondes après son lancement. Bonne fin de semaine et merci de votre fidélité ! [...]

[...] Une fusée russe Proton-M avec trois satellites du système  GPS  russe Glonass a explosé ce matin, quelques secondes après son lancement. La fusée a changé de direction 17 secondes après son décollage de Baïkonour car « ses moteurs ont cessé de fonctio [...]

[...] sera utilisé par le grand public mais également par les forces de sécurité pour les missions de surveillance. Ce système IRNSS sera en outre inter-opérable et compatible avec ses concurrents  GPS  et Galileo. [...]