
Dans un article paru dans Le Figaro, l'Association nationale des annonceurs (UDM), ne considèrent pas la publicité télévisée et la publicité numérique comme substituables.
Ceci est perçu comme un élément négatif pour le projet de fusion entre le diffuseur de télévision commerciale français TF1 et son plus petit rival M6.
Une note de la banque d'investissement Exane/BNPP indique que l'argument majeur de la fusion est que l'émergence d'acteurs majeurs du numérique tels que Google, Amazon, etc. a rendu les frontières entre les sous-catégories de la publicité "beaucoup plus fluides".
L'UDM soutient qu'à leur avis ce n'est pas le cas et par conséquent l'argument en faveur d'une fusion ne tient pas.
Arcom, le régulateur français des médias (le successeur du CSA) devrait faire connaître son point de vue sur la fusion dans les prochaines semaines.
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