Rédaction
28 mars 2006
La salle des fêtes de l´Hôtel Ivoire accueille depuis lundi, la réunion préparatoire de la 2e session de la Conférence régionale des radiocommunications (CRR-06) chargée de planifier le service de Radiodiffusion numérique de terre (RNT) dans les bandes de fréquence 174-230 Mhz et 470-862 Mhz. Jusqu´à demain, les experts provenant de 40 pays du continent, conformément à la résolution 1224 de l´Union internationale des télécommunications (UIT), réfléchiront à la mise en oeuvre d´un nouveau plan de fréquences basé sur la technologie numérique dans les pays d´Afrique, bien sûr, mais aussi en Europe, au Moyen- Orient et en République islamique d´Iran, aux fins de la cessation progressive de la radiodiffusion analogique.
En effet, la radiodiffusion numérique présente l´avantage de produire une meilleure qualité visuelle et sonore, en offrant une plus grande disponibilité dans l´utilisation des bandes de fréquence existantes. En fait, la réunion d´Abidjan se tient en prélude à la conférence régionale prévue en mai-juin 2006 à Genève, afin de permettre aux experts africains d´harmoniser leurs positions et d´élaborer des propositions communes sur les principales questions que soulève la planification. Etant entendu que la plupart des émetteurs en Afrique fonctionnent avec la technologie analogique, l´harmonisation revêt un intérêt majeur.
C´est à juste titre qu´à la cérémonie d´ouverture, le ministre Hamed Bakayoko des Nouvelles technologies de l´Information et de la Communication interpellera les experts : "Vous aurez également à vous prononcer sur la définition de la période transitoire pendant laquelle les actuels systèmes analogiques devront cohabiter avec les nouveaux systèmes numériques". M. Akossi Akossi, Secrétaire général de l´Union africaine des télécommunications (UAT), précisera dans la même veine, que son institution "s´assure de la sauvegarde des intérêts de l´Afrique dans les conférences mondiales". La ministre déléguée à la Communication et les responsables du CTCF, de l´ATCI, du CNCA, de la RTI suivent avec intérêt ses travaux qui s´achèvent demain.
Rémi Coulibaly
© Copyright Fraternite-Matin
En effet, la radiodiffusion numérique présente l´avantage de produire une meilleure qualité visuelle et sonore, en offrant une plus grande disponibilité dans l´utilisation des bandes de fréquence existantes. En fait, la réunion d´Abidjan se tient en prélude à la conférence régionale prévue en mai-juin 2006 à Genève, afin de permettre aux experts africains d´harmoniser leurs positions et d´élaborer des propositions communes sur les principales questions que soulève la planification. Etant entendu que la plupart des émetteurs en Afrique fonctionnent avec la technologie analogique, l´harmonisation revêt un intérêt majeur.
C´est à juste titre qu´à la cérémonie d´ouverture, le ministre Hamed Bakayoko des Nouvelles technologies de l´Information et de la Communication interpellera les experts : "Vous aurez également à vous prononcer sur la définition de la période transitoire pendant laquelle les actuels systèmes analogiques devront cohabiter avec les nouveaux systèmes numériques". M. Akossi Akossi, Secrétaire général de l´Union africaine des télécommunications (UAT), précisera dans la même veine, que son institution "s´assure de la sauvegarde des intérêts de l´Afrique dans les conférences mondiales". La ministre déléguée à la Communication et les responsables du CTCF, de l´ATCI, du CNCA, de la RTI suivent avec intérêt ses travaux qui s´achèvent demain.
Rémi Coulibaly
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