Rédaction
14 octobre 2011 à 14h18
Selon certains participants que nous avons pu joindre, la réunion d'hier jeudi 13 octobre a été positive. La dynamique paraît en place et ne semble plus qu'attendre un feu vert du CSA.
La réunion était présidée par Michel Boyon, le président du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). Elle était animée par Rachid Arhab assisté de Patrice Gélinet.
Au menu, des présentations de la situation de la RNT en Europe qu'ont exposées les représentants des autorités de régulation belges, suisses et allemandes. On a pu constater que la réussite du lancement de la RNT dépend des modalités d'accompagnement mises en place, mais aussi du volontarisme des parties impliquées. Par exemple, en Belgique, les premières réunions autour de la RNT ont au lieu en juin 2010 et, un peu plus d'un an plus tard, la radio numérique est programmée avec accompagnent fort du gouvernement (comme quoi, quand un pays n'a pas de gouvernement, les choses vont parfois plus vite, même si en vérité la Belgique a un gouvernement qui "expédie les affaires courantes")
En Suisse aussi, les autorités se sont beaucoup impliquées.
En Allemagne, ce sont les fabricants de récepteurs qui ont financé en partie le lancement de la radio numérique.
Des présentations des expérimentations et démonstration de la RNT à Nantes Paris et Lyon ont été exposées par les représentants du GRAMM pour Nantes de TDF pour Paris et Lyon et de VDL pour Lyon.
Les syndicats SIRTI et SNRL et des directeurs de radios indépendantes ont demandé que l'on cesse les expérimentations et que l'on passe à la phase active avec le renvoi des conventions et la délivrance des autorisations sur les trois zones Paris Marseille et Nice par le CSA.
Les représentants des quatre grands groupes n'ont pas formalisé de demandes, mais contrairement aux autres réunions où ils manifestaient leur opposition au lancement de la RNT, ou en demandaient le report, cette fois-ci, ils sont restés très discrets.
Prochaine réunion de l'observatoire à mi-décembre 2011
Rédaction : Valdavid
La réunion était présidée par Michel Boyon, le président du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). Elle était animée par Rachid Arhab assisté de Patrice Gélinet.
Au menu, des présentations de la situation de la RNT en Europe qu'ont exposées les représentants des autorités de régulation belges, suisses et allemandes. On a pu constater que la réussite du lancement de la RNT dépend des modalités d'accompagnement mises en place, mais aussi du volontarisme des parties impliquées. Par exemple, en Belgique, les premières réunions autour de la RNT ont au lieu en juin 2010 et, un peu plus d'un an plus tard, la radio numérique est programmée avec accompagnent fort du gouvernement (comme quoi, quand un pays n'a pas de gouvernement, les choses vont parfois plus vite, même si en vérité la Belgique a un gouvernement qui "expédie les affaires courantes")
En Suisse aussi, les autorités se sont beaucoup impliquées.
En Allemagne, ce sont les fabricants de récepteurs qui ont financé en partie le lancement de la radio numérique.
Des présentations des expérimentations et démonstration de la RNT à Nantes Paris et Lyon ont été exposées par les représentants du GRAMM pour Nantes de TDF pour Paris et Lyon et de VDL pour Lyon.
Les syndicats SIRTI et SNRL et des directeurs de radios indépendantes ont demandé que l'on cesse les expérimentations et que l'on passe à la phase active avec le renvoi des conventions et la délivrance des autorisations sur les trois zones Paris Marseille et Nice par le CSA.
Les représentants des quatre grands groupes n'ont pas formalisé de demandes, mais contrairement aux autres réunions où ils manifestaient leur opposition au lancement de la RNT, ou en demandaient le report, cette fois-ci, ils sont restés très discrets.
Prochaine réunion de l'observatoire à mi-décembre 2011
Rédaction : Valdavid
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