Rédaction
8 juillet 2011 à 11h22
Les hauts fonctionnaires chargés de l'audiovisuel extérieur (France 24, RFI, TV5) critiquent la gestion de son PDG Alain Pouzilhac, et notamment "un manque de transparence et un refus d'obéir aux arbitrages de l'Etat", indique La Tribune dans son édition du 7 juillet.
"L'AEF a présenté des plans d'affaires pour les années à venir ne respectant pas les arbitrages de Matignon. C'est inhabituel de voir une entreprise publique incapable de respecter l'arbitrage de l'Etat", a déclaré François Miquel, chef de la mission de contrôle général économique et financier de l'audiovisuel public, selon un compte-rendu auquel le quotidien a eu accès après une réunion à huis clos devant la mission d'information des députés sur l'AEF.
"L'AEF n'a pas été capable jusqu'à présent de respecter la trajectoire financière", en raison notamment du "contexte concurrentiel et des difficultés à mettre en oeuvre les synergies nécessaires", critique encore Pierre Sellal, secrétaire général du Quai d'Orsay.
Par ailleurs, indique le journal, le plan social à RFI ayant pris du retard, "le calendrier volontariste (du PDG) s'est révélé peu réaliste" et l'AEF "n'a pas réussi à mettre en place les synergies envisagées", selon les responsables de Bercy qui s'interrogent sur "la crédibilité des hypothèses" du plan d'affaires de M. de Pouzilhac.
Source : jeanmarcmorandini.com
"L'AEF a présenté des plans d'affaires pour les années à venir ne respectant pas les arbitrages de Matignon. C'est inhabituel de voir une entreprise publique incapable de respecter l'arbitrage de l'Etat", a déclaré François Miquel, chef de la mission de contrôle général économique et financier de l'audiovisuel public, selon un compte-rendu auquel le quotidien a eu accès après une réunion à huis clos devant la mission d'information des députés sur l'AEF.
"L'AEF n'a pas été capable jusqu'à présent de respecter la trajectoire financière", en raison notamment du "contexte concurrentiel et des difficultés à mettre en oeuvre les synergies nécessaires", critique encore Pierre Sellal, secrétaire général du Quai d'Orsay.
Par ailleurs, indique le journal, le plan social à RFI ayant pris du retard, "le calendrier volontariste (du PDG) s'est révélé peu réaliste" et l'AEF "n'a pas réussi à mettre en place les synergies envisagées", selon les responsables de Bercy qui s'interrogent sur "la crédibilité des hypothèses" du plan d'affaires de M. de Pouzilhac.
Source : jeanmarcmorandini.com
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