Était-ce déjà un "exemple de lâcheté" ?
Le secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand, a qualifié vendredi "d'exemple de lâcheté" l'absence de Vincent Peillon jeudi soir à France 2, qualifiant l'eurodéputé PS de "truqueur et manipulateur", tandis que le porte-parole adjoint du parti a dit qu'il allait écrire au CSA. "C'est un exemple type de lâcheté politique et de manipulation politico-médiatique", a déclaré M. Bertrand au Talk-Orange Le Figaro à propos de la défection in-extremis de M. Peillon à l'émission "A vous de juger", où il devait débattre de l'identité nationale avec le ministre de l'Immigration, Eric Besson, et la vice-présidente du FN, Marine Le Pen. "En plus, c'est du trucage. M. Peillon est un truqueur, un manipulateur... Parce que s'il avait pris sa décision quelques jours avant, comme cela a été dit, il en aurait parlé avec Martine Aubry", a poursuivi M. Bertrand. "C'est une manipulation complète", a-t-il insisté. "Comment faire parler de soi quand on n'a pas le courage d'aller débattre? Comment faire parler de soi quand on n'a pas d'idées à opposer à Eric Besson?", a encore demandé Xavier Bertrand. Dans un communiqué, le porte-parole adjoint de l'UMP, Dominique Paillé, a assuré que le parti présidentiel allait écrire au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) "pour demander à ce que le temps qui lui était imparti dans l'émission soit comptabilisé au titre de celui réservé au PS et de l'opposition".
4 commentaires
Était-ce déjà un "exemple de lâcheté" ?
une bonne "fessee" electorale leur ferait le plus grand bien a tous ces guignols de droite comme de gauche !!
leur chanson est la même :" paroles, paroles, toujours des paroles qu'ils sement aux vents"
c'est tout pour le moment !!