Rédaction
12 janvier 2010
3
Jean-Luc Hees joue la carte de l'humour. Le patron de radio France a réagi à la chronique acerbe de Stéphane Guillon. Rien de grave selon lui. «L'humour, c'est l'humour! Il y a peut-être des limites, mais en l'occurrence, elles ne sont pas franchies», a-t-il assuré au site lepoint.fr, réaffirmant que «le principe de liberté est entier sur Inter». Il poursuit : "Simplement, c'est la troisième fois que j'entends la même chronique sur ma Légion d'honneur : la semaine dernière, c'était Didier Porte sur Inter et Guy Carlier sur Europe 1. Bon, ça va... Je vais dire à Stéphane Guillon de se renouveler un peu. Même s'il rentre de vacances, il aurait pu trouver autre chose... (sourire). Quant à ma Légion d'honneur qu'il m'invite à refuser, il devrait savoir que je l'avais déjà. La Légion d'honneur, ça ne se demande pas, ça ne se refuse pas, ça ne se porte pas. J'aimerais aussi rappeler à Guillon que je ne l'entends pas souvent dire du mal des patrons de Canal + (chroniqueur dans Salut les Terriens ! , NDLR), ses autres employeurs. Et pour cause : s'il se le permettait, eux ne réagiraient pas comme nous. Et il perdrait ses 40.000 euros par mois !"
Lundi matin, Stéphane Guillon s'en est pris directement à Philippe Val, le patron d'Inter, et à Jean-Luc Hees. Il reproche au premier d'avoir déclaré dans une réunion interne: «France Inter est une radio qui coûte cher à l'actionnaire, qui n'est pourtant pas très bien traité par la station.» Une référence à Nicolas Sarkozy. «Admettons que nous soyons surpayés à le maltraiter, je le dis à Val: à partir de demain, je viens gratos», ajoute l'humoriste qui précise que les actionnaires de la station ne sont autres que les auditeurs.
Sarkozy : actionnaire de France Inter
envoyé par franceinter. - Gag, sketch et parodie humouristique en video.
Lundi matin, Stéphane Guillon s'en est pris directement à Philippe Val, le patron d'Inter, et à Jean-Luc Hees. Il reproche au premier d'avoir déclaré dans une réunion interne: «France Inter est une radio qui coûte cher à l'actionnaire, qui n'est pourtant pas très bien traité par la station.» Une référence à Nicolas Sarkozy. «Admettons que nous soyons surpayés à le maltraiter, je le dis à Val: à partir de demain, je viens gratos», ajoute l'humoriste qui précise que les actionnaires de la station ne sont autres que les auditeurs.
Sarkozy : actionnaire de France Inter
envoyé par franceinter. - Gag, sketch et parodie humouristique en video.
!
Pour lire les commentaires et participer, vous devez vous identifier.
Connectez-vous ou devenez membre pour participer et profiter d'autres avantages.
Derniers coms
+ commentés
Forums