Rédaction
31 octobre 2009
L'Union de radiodiffusion des Etats Arabes (ASBU) organisait à Tunis les 29 et 30 octobre, un congrès autour du défi à relever face à l'évolution technologique de la transmission télévisée et du challenge relié à l'adoption de la diffusion en haute définition. La séance d'ouverture a été présidée par Riadh Nejm, président de l'Arab HDTV Group et de Slaheddine Maaoui, Directeur Général de l'ASBU. Le congrès vise principalement à faire concorder les efforts des pays membres de l'union et de bénéficier de l'échange d'expériences et de connaissances afin de pouvoir élaborer une stratégie commune pour faciliter une migration efficace, fonctionnelle et évolutive vu la rapidité avec laquelle progressent les technologies dans le domaine.
Le congrès vise aussi à établir une série de normes à respecter et étudier les éventuelles interfaces communes pour une adoption uniforme et coopérative de la HDTV. Quand et comment migrer pour la HDTV, tel était le thème de la courte présentation effectuée par Slaheddine Maaoui. Il a insisté sur le fait que ceci ne dépendait pas seulement de l'infrastructure de transmission uniquement mais aussi de la disponibilité des équipements compatibles tels que les récepteurs et les postes de télévision, des émissions, oeuvres cinématographiques et télévisées ainsi que de la transmission des événements sportifs qui soient compatibles avec cette technologie, tant au niveau de l'image, qu'à celui du son. Suivait alors une présentation faite par David Wood, président du forum Européen de la Haute Définition (European HD forum) et membre du comité exécutif de l'EBU (European Brodcasting Union).
La diffusion des canaux TV à haute définition peut se faire à travers les quatre vois conventionnelles qui sont le câble, le stellite, les ondes hertziennes et l'internet (IPTV), mais en Europe, plus de la moitié des canaux diffusant en signal HD, passent par le satellite (Astra et Eutelsat) ; leur nombre est passé d'une centaine en 2008 à 200 en 2009. La grande majorité des producteurs disposent déjà du matériel adéquat pouvant supporter une résolution native de 1080 lignes en Progressive Scan (soit une résolution effective de 1920x1080 pixels) et avec un taux de rafraîchissement de 50 images par seconde, mais ceci est réduit à une résolution HD conventionnelle de 1280x720 et aussi en signal vidéo classique d'une résolution de 704x480. La question qui s'est aussi posée est si la HD TV ainsi que la DTT (Digital Terrestrial Television) allaient devenir une nécessité vu l'élargissement des applications de la technologie ainsi que le besoin accru en qualité d'image et de son. D'autant que depuis un moment, les postes de télévision compatibles avec les normes et la technologie (HD Ready ou Full HD) deviennent largement répandus et les prix sont continuellement en train de baisser. Le passage vers la télévision à haute définition est désormais imminent et est devenu un vrai besoin, et cette migration ouvrira certainement la porte à d'autres technologies d'appoint, telles que la diffusion haute définition hybride (Hybrid HD Broadcasting) qui combine le signal TV en haute définition et une connexion Internet afin d'enrichir considérablement l'expérience du téléspectateur.
Le congrès vise aussi à établir une série de normes à respecter et étudier les éventuelles interfaces communes pour une adoption uniforme et coopérative de la HDTV. Quand et comment migrer pour la HDTV, tel était le thème de la courte présentation effectuée par Slaheddine Maaoui. Il a insisté sur le fait que ceci ne dépendait pas seulement de l'infrastructure de transmission uniquement mais aussi de la disponibilité des équipements compatibles tels que les récepteurs et les postes de télévision, des émissions, oeuvres cinématographiques et télévisées ainsi que de la transmission des événements sportifs qui soient compatibles avec cette technologie, tant au niveau de l'image, qu'à celui du son. Suivait alors une présentation faite par David Wood, président du forum Européen de la Haute Définition (European HD forum) et membre du comité exécutif de l'EBU (European Brodcasting Union).
La diffusion des canaux TV à haute définition peut se faire à travers les quatre vois conventionnelles qui sont le câble, le stellite, les ondes hertziennes et l'internet (IPTV), mais en Europe, plus de la moitié des canaux diffusant en signal HD, passent par le satellite (Astra et Eutelsat) ; leur nombre est passé d'une centaine en 2008 à 200 en 2009. La grande majorité des producteurs disposent déjà du matériel adéquat pouvant supporter une résolution native de 1080 lignes en Progressive Scan (soit une résolution effective de 1920x1080 pixels) et avec un taux de rafraîchissement de 50 images par seconde, mais ceci est réduit à une résolution HD conventionnelle de 1280x720 et aussi en signal vidéo classique d'une résolution de 704x480. La question qui s'est aussi posée est si la HD TV ainsi que la DTT (Digital Terrestrial Television) allaient devenir une nécessité vu l'élargissement des applications de la technologie ainsi que le besoin accru en qualité d'image et de son. D'autant que depuis un moment, les postes de télévision compatibles avec les normes et la technologie (HD Ready ou Full HD) deviennent largement répandus et les prix sont continuellement en train de baisser. Le passage vers la télévision à haute définition est désormais imminent et est devenu un vrai besoin, et cette migration ouvrira certainement la porte à d'autres technologies d'appoint, telles que la diffusion haute définition hybride (Hybrid HD Broadcasting) qui combine le signal TV en haute définition et une connexion Internet afin d'enrichir considérablement l'expérience du téléspectateur.
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