Rédaction
20 septembre 2009
CANALSAT Horizons a fait ,cette semaine ,sa rentrée à Yaoundé,au coeur de la capitale camerounaise, qui a été choisie pour abriter cette rencontre. Devant un parterre d'hommes et femmes de média, la Directeur Général de CANALSAT Horizons Cameroun, Jackson Njike Nounchie, a présenté la représentation qu'il dirige depuis février 2008. La filiale camerounaise du groupe CANAL+ a l'exclusivité de la commercialisation du bouquet CANALSAT Horizons et ses 80 chaînes de radio et télévision. Pour sa première année d'existence, elle a réussi le tour de force de faire intégrer quatre chaînes de télévision camerounaises dans le bouquet CANALSAT Horizons. « C'est une exposition jamais vue depuis que nous sommes en panafricain », a affirmé Jackson Njike. Son équipe et lui se seront en outre investis dans l'accompagnement de ces chaînes de télévision, ainsi que la facilitation de leurs interventions à l'étranger.
Le Cameroun, que Jackson Njike appelle « un laboratoire » est aussi « un environnement difficile ». La télévision par câble a pignon sur rue et la quasi-totalité des câblo-opérateurs fonctionnent dans l'illégalité. Même si le Directeur Général de CANALSAT Horizons affirme ne pas leur déclarer la guerre, la tension reste vive dans le secteur qui a vu l'organisation, dans la précipitation, début 2008, un forum national sur la distribution de la télévision par câble. Alors que les camerounais attendaient de vivre la Coupe d'Afrique des Nations de football (CAN) qui se jouait au Ghana, la pose de scellés chez certains de ces « voleurs d'images », comme les appelle Jackson Njike, avait conduit à l'arrêt de la fourniture des ménages, par les petits distributeurs. La concertation avait abouti sur une relative accalmie. Mais la situation est loin d'avoir changé. Jackson Njike et son équipe attendent toujours que les opérateurs par câble, dont 50% des recettes devraient revenir aux éditeurs d'images, leur reversent la quote-part arrêtée pendant les assises de 2008. Au risque de devoir piocher dans ses propres bénéfices pour reverser à qui de droit, la somme due. Eux qui paient déjà 700 millions de Fcfa l'an, de frais de tva.
Le Cameroun, que Jackson Njike appelle « un laboratoire » est aussi « un environnement difficile ». La télévision par câble a pignon sur rue et la quasi-totalité des câblo-opérateurs fonctionnent dans l'illégalité. Même si le Directeur Général de CANALSAT Horizons affirme ne pas leur déclarer la guerre, la tension reste vive dans le secteur qui a vu l'organisation, dans la précipitation, début 2008, un forum national sur la distribution de la télévision par câble. Alors que les camerounais attendaient de vivre la Coupe d'Afrique des Nations de football (CAN) qui se jouait au Ghana, la pose de scellés chez certains de ces « voleurs d'images », comme les appelle Jackson Njike, avait conduit à l'arrêt de la fourniture des ménages, par les petits distributeurs. La concertation avait abouti sur une relative accalmie. Mais la situation est loin d'avoir changé. Jackson Njike et son équipe attendent toujours que les opérateurs par câble, dont 50% des recettes devraient revenir aux éditeurs d'images, leur reversent la quote-part arrêtée pendant les assises de 2008. Au risque de devoir piocher dans ses propres bénéfices pour reverser à qui de droit, la somme due. Eux qui paient déjà 700 millions de Fcfa l'an, de frais de tva.
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