Rédaction
19 août 2009
L'opérateur Altitude Telecom, jusqu'ici spécialisé dans les service aux entreprises, lance en septembre une offre internet grand public par Wimax.
Cette offre, disponible dans 13 départements en France à terme (12, 14, 27, 31, 39, 55, 61, 64, 67, 72, 76, 79, 85, 71, 21, 89, 35), dont 10 en septembre, sera destinée aux populations habitant dans les zones blanches,c'est-à-dire les zones peu ou mal couvertes par l'ADSL et donc qui ne bénéficient pas d'accès internet haut débit.Baptisé WiBox, le service d'accès se limitera à une offre internet dual-play : Internet et téléphonie sur IP avec un débit de 2 Mb/s, commercialisée 39 euros ou bien couplé avec de la téléphonie pour 45 euros.
"Nous nous lançons sur le marché des particuliers et visons la complémentarité avec les grands opérateurs en allant dans des zones où ils ne sont pas pour des raisons de rentabilité", a expliqué à l'AFP Thomas Picard, directeur financier d'Altitude Telecom.Le groupe espère réaliser 3,5 millions d'euros de recettes de cette activité en 2009.
Comme le Wifi, le Wimax, qui fonctionne par voies hertziennes, garantit un accès sans fil à internet, mais à des débits plus élevés et avec une portée
plus grande, de l'ordre de plusieurs kilomètres.Quasi absent dans les zones urbaines, le Wimax se répand néanmoins dans les régions rurales et enclavées, grâce au soutien des pouvoirs publics.Il y a un an, l'Arcep a placé sous surveillance jusqu'en décembre 2010 les titulaires des licences Wimax après avoir constaté un retard dans leurs déploiements.Fin 2008, Bolloré Télécom, qui détient 20 licences régionales, n'avait mis en place que 13,4% des installations prévues, et Altitude Telecom, propriétaire de 13 licences, 15%.
Cette offre, disponible dans 13 départements en France à terme (12, 14, 27, 31, 39, 55, 61, 64, 67, 72, 76, 79, 85, 71, 21, 89, 35), dont 10 en septembre, sera destinée aux populations habitant dans les zones blanches,c'est-à-dire les zones peu ou mal couvertes par l'ADSL et donc qui ne bénéficient pas d'accès internet haut débit.Baptisé WiBox, le service d'accès se limitera à une offre internet dual-play : Internet et téléphonie sur IP avec un débit de 2 Mb/s, commercialisée 39 euros ou bien couplé avec de la téléphonie pour 45 euros.
"Nous nous lançons sur le marché des particuliers et visons la complémentarité avec les grands opérateurs en allant dans des zones où ils ne sont pas pour des raisons de rentabilité", a expliqué à l'AFP Thomas Picard, directeur financier d'Altitude Telecom.Le groupe espère réaliser 3,5 millions d'euros de recettes de cette activité en 2009.
Comme le Wifi, le Wimax, qui fonctionne par voies hertziennes, garantit un accès sans fil à internet, mais à des débits plus élevés et avec une portée
plus grande, de l'ordre de plusieurs kilomètres.Quasi absent dans les zones urbaines, le Wimax se répand néanmoins dans les régions rurales et enclavées, grâce au soutien des pouvoirs publics.Il y a un an, l'Arcep a placé sous surveillance jusqu'en décembre 2010 les titulaires des licences Wimax après avoir constaté un retard dans leurs déploiements.Fin 2008, Bolloré Télécom, qui détient 20 licences régionales, n'avait mis en place que 13,4% des installations prévues, et Altitude Telecom, propriétaire de 13 licences, 15%.
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