Rédaction
18 janvier 2009
Le président élu américain Barack Obama a confié avoir un plan pour ne pas se séparer de son cher téléphone portable Blackberry, qui permet aussi d'envoyer et de recevoir des courriels, quand il entrera à la Maison Blanche mardi. Dans une interview à la chaîne de télévision CNN, Barack Obama a expliqué que ce téléphone portable serait l'un des outils lui permettant de rester en contact avec les "vrais Américains" et de ne pas rester coincé dans la "bulle" présidentielle. "Mon hypothèse de travail, et ce n'est pas nouveau, c'est que tout ce que j'écrirai sur un email pourra se retrouver sur CNN," a-t-il lancé.
"J'ai intérêt à bien réfléchir avant d'appuyer sur +envoi+", a-t-il ajouté en souriant. M. Obama n'a pas dévoilé comment il comptait s'y prendre pour échapper à la loi du Presidential Records Act (PRA), adoptée en 1978 après le scandale du Watergate lorsque Richard Nixon avait détruit de nombreux documents. En vertu de cette loi, toute la correspondance papier ou électronique du président devient une archive du domaine public. Ces correspondances écrites, enregistrées ou électroniques des plus hauts représentants de l'Etat, sont théoriquement rendues accessibles au public 12 ans après leur existence. Elles peuvent surtout être exigées par le Congrès ou la justice lors d'enquêtes.
Le président élu n'a pas non plus expliqué comment il comptait persuader les agents du "Secret Service" que son Blackberry ne posait pas de problème de sécurité, notamment de piratage informatique. Mais Barack Obama, qui succèdera à l'impopulaire George W. Bush mardi, a assuré que son téléphone faisait partie d'une stratégie plus vaste pour échapper au "bocal" de la Maison Blanche. "C'est juste un outil parmi d'autres que je tente d'utiliser pour sortir de la bulle (de la Maison Blanche), pour être sûr que les gens pourront toujours me joindre," a-t-il poursuivi. "Si je fais quelque chose d'idiot, quelqu'un à Chicago pourra m'envoyer un email et me dire: +Qu'es-ce que tu fais?" "Je veux pouvoir entendre les messages d'autres personnes que celles qui travailleront étroitement pour moi, (de gens) qui pourront m'envoyer un message sur ce qui se passe en Amérique", a-t-il insisté.
"J'ai intérêt à bien réfléchir avant d'appuyer sur +envoi+", a-t-il ajouté en souriant. M. Obama n'a pas dévoilé comment il comptait s'y prendre pour échapper à la loi du Presidential Records Act (PRA), adoptée en 1978 après le scandale du Watergate lorsque Richard Nixon avait détruit de nombreux documents. En vertu de cette loi, toute la correspondance papier ou électronique du président devient une archive du domaine public. Ces correspondances écrites, enregistrées ou électroniques des plus hauts représentants de l'Etat, sont théoriquement rendues accessibles au public 12 ans après leur existence. Elles peuvent surtout être exigées par le Congrès ou la justice lors d'enquêtes.
Le président élu n'a pas non plus expliqué comment il comptait persuader les agents du "Secret Service" que son Blackberry ne posait pas de problème de sécurité, notamment de piratage informatique. Mais Barack Obama, qui succèdera à l'impopulaire George W. Bush mardi, a assuré que son téléphone faisait partie d'une stratégie plus vaste pour échapper au "bocal" de la Maison Blanche. "C'est juste un outil parmi d'autres que je tente d'utiliser pour sortir de la bulle (de la Maison Blanche), pour être sûr que les gens pourront toujours me joindre," a-t-il poursuivi. "Si je fais quelque chose d'idiot, quelqu'un à Chicago pourra m'envoyer un email et me dire: +Qu'es-ce que tu fais?" "Je veux pouvoir entendre les messages d'autres personnes que celles qui travailleront étroitement pour moi, (de gens) qui pourront m'envoyer un message sur ce qui se passe en Amérique", a-t-il insisté.
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