Rédaction
12 mai 2008
Après une première saison très appréciée de ses téléspectateurs, Canal+ rempile , dés ce soir à 20h50, en "HD Native", avec huit nouveaux épisodes d'"Engrenages", une série haletante et réaliste à la mise en scène particulièrement léchée. Rançon du succès, la saison 1 d'"Engrenages" que les Français avaient pu voir en 2005, a été diffusée sur la BBC en mai 2006 et sur Mystery Channel au Japon. Elle est aussi la première série française achetée par l'Australie, sur SBS, indique son producteur Alain Clert (Son et Lumière). Pour ces nouveaux épisodes dotés d'un budget conséquent de près de 9 millions d'euros, l'écriture du scénario a été confiée à Virginie Brac, auteur de plusieurs romans publiés au Fleuve Noir.
Au centre de l'histoire, le capitaine Laure Berthaud (Caroline Proust) et l'avocate Joséphine Karlsson (Audrey Fleurot), "ces deux femmes perdues dans ce monde d'hommes et qui, plutôt que de se soutenir, s'affrontent", explique Virginie Brac. Le téléspectateur retrouve aussi le vice-procureur Pierre Clément (Grégory Fitoussi) qui découvre l'utilité des réseaux pour faire progresser sa carrière, et François Roban (Philippe Duclos), le juge d'instruction retors, solitaire et impitoyable. La saison 2 commence avec la découverte du cadavre d'un homme brûlé vif dans le coffre d'une voiture dans une cité, et par l'overdose d'une jeune fille dans un lycée des beaux quartiers. Sous l'objectif de Gilles Bannier, réalisateur des quatre premiers épisodes, la photo bleutée, froide et presque monochrome de la première saison, a gagné en couleurs. La première saison a enregistré une audience supérieure à 15%, s'est félicité Rodolphe Belmer, le directeur général de Canal+, la chaîne cryptée, prouvant "qu'on peut avoir une écriture moderne, un style sophistiqué et l'adhésion du grand public". Trois réalisateurs, Gilles Bannier, Philippe Venault et Philippe Triboit se partagent les huit épisodes. Les amateurs peuvent être rassurés, la suite est déjà en écriture.
Au centre de l'histoire, le capitaine Laure Berthaud (Caroline Proust) et l'avocate Joséphine Karlsson (Audrey Fleurot), "ces deux femmes perdues dans ce monde d'hommes et qui, plutôt que de se soutenir, s'affrontent", explique Virginie Brac. Le téléspectateur retrouve aussi le vice-procureur Pierre Clément (Grégory Fitoussi) qui découvre l'utilité des réseaux pour faire progresser sa carrière, et François Roban (Philippe Duclos), le juge d'instruction retors, solitaire et impitoyable. La saison 2 commence avec la découverte du cadavre d'un homme brûlé vif dans le coffre d'une voiture dans une cité, et par l'overdose d'une jeune fille dans un lycée des beaux quartiers. Sous l'objectif de Gilles Bannier, réalisateur des quatre premiers épisodes, la photo bleutée, froide et presque monochrome de la première saison, a gagné en couleurs. La première saison a enregistré une audience supérieure à 15%, s'est félicité Rodolphe Belmer, le directeur général de Canal+, la chaîne cryptée, prouvant "qu'on peut avoir une écriture moderne, un style sophistiqué et l'adhésion du grand public". Trois réalisateurs, Gilles Bannier, Philippe Venault et Philippe Triboit se partagent les huit épisodes. Les amateurs peuvent être rassurés, la suite est déjà en écriture.
Canal+ › Autres articles à lire
-
2
-
13
-
13
-
4
-
9
-
1
-
5
-
17
Derniers coms
+ commentés
Forums
33