Patrick Vallélian, journaliste à La Liberté, a révélé dans le quotidien suisse que le directeur de la TSR, Gilles Marchand, estime le projet "Arrêt sur images" trop coûteux et trop franco-français. Daniel Schneidermann vient de jeter l'éponge après que la TSR a décliné sa première offre de service. La peur de possibles pressions politiques de notre grand voisin où la disparition d'ASI en réjouit plus d'un? 'Pas du tout', répond Gilles Marchand, directeur de la TSR. 'Nous avons estimé que le projet présenté par Daniel Schneidermann était trop franco-français. Il ne voulait pas axer son émission sur l'actualité suisse ou plus largement francophone comme nous le proposions.'
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