Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a écrit à Canal+, I-Télé et France 2 pour leur préciser qu'il considérait que la diffusion des séquences de l'exécution de l'ex-président irakien Saddam Hussein, bien que ne comportant pas la scène de l'exécution proprement dite, était susceptible de heurter la sensibilité des téléspectateurs et aurait dû faire l'objet d'un avertissement préalable. Il a également écrit à BFM TV pour lui dire qu'il considérait que la diffusion de l'exécution elle-même n'était pas utile au bon traitement de l'information et portait atteinte à la dignité de la personne humaine.