Rédaction
8 décembre 2006
Emmanuel Hoog, Président-directeur général de l'Ina reçoit aujourd'hui M. Abdul Karim Khurram, ministre de la Culture, de l'Information et de la Jeunesse d'Afghanistan. Il est accompagné d'une délégation : son Altesse Mirwaïs Zaher, fils et conseiller du Roi pour les affaires culturelles, et M. Omar Said Sultan, vice-ministre de la Culture et de la Jeunesse. L'Institut prolonge ainsi les actions engagées dans son premier programme de coopération pour la sauvegarde des archives audiovisuelles en Afghanistan (2002-2004). Aujourd'hui, un remarquable travail de conservation a été accompli. Mais plus d'une dizaine de milliers d'heures de radio et de télévision restent encore menacées. Trois objectifs doivent être atteints en 2007 :
- autonomie pour que les Afghans puissent assurer le pilotage de leur plan de sauvegarde et de numérisation ;
- accessibilité pour que les images et les sons restaurés soient accessibles aux Afghans mais également au monde entier en vertu du principe de diversité culturelle ;
- complémentarité pour qu'aux côtés des images, les sons de la radio afghane soient également préservés. Le patrimoine audiovisuel afghan est d'abord et avant tout sonore.
Sur ce terrain là aussi, l'Ina est présente.
L'Ina mettra en ouvre :
- transfert de savoir-faire ;
- assistance technique ;
- mise en place de matériels ;
- formation.
En participant à la sauvegarde de ce patrimoine, l'Ina s'engage à aider les Afghans à se réapproprier leur mémoire collective et à garantir avec ses talents et ses compétences, la diversité culturelle.
- autonomie pour que les Afghans puissent assurer le pilotage de leur plan de sauvegarde et de numérisation ;
- accessibilité pour que les images et les sons restaurés soient accessibles aux Afghans mais également au monde entier en vertu du principe de diversité culturelle ;
- complémentarité pour qu'aux côtés des images, les sons de la radio afghane soient également préservés. Le patrimoine audiovisuel afghan est d'abord et avant tout sonore.
Sur ce terrain là aussi, l'Ina est présente.
L'Ina mettra en ouvre :
- transfert de savoir-faire ;
- assistance technique ;
- mise en place de matériels ;
- formation.
En participant à la sauvegarde de ce patrimoine, l'Ina s'engage à aider les Afghans à se réapproprier leur mémoire collective et à garantir avec ses talents et ses compétences, la diversité culturelle.
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